Il est prouvé qu'on peut s'évader même d'une prison de haute sécurité. Des complicités sont toujours possibles et aucune serrure ne peut être considérée comme absolument inviolable. Mais il est des clefs qu'aucun prisonnier ni complice ne pourra jamais utiliser. Jésus Christ a dit: "Je tiens les clefs de la mort et du hadès" - le hadès étant le séjour des âmes séparées du corps - (Apocalypse 1. 18).

L'apôtre Pierre s'est servi des clefs du royaume des cieux que Jésus lui a remises pour ouvrir la porte de la grâce de Dieu à tous les hommes (Matthieu 16. 19). Cette porte de la grâce a été ouverte; le salut et le pardon ont été offerts à tous. Beaucoup sont entrés. D'autres ont refusé par orgueil ou pour profiter le plus longtemps possible des vanités du monde, mettant ainsi en jeu leur bonheur éternel. Un jour, tous comparaîtront devant Celui qui tient les clefs de la mort et du hadès, quand il se lèvera pour juger les vivants et les morts.

Et nous lisons ces lignes terrifiantes: "La mort et le hadès rendirent les morts qui étaient en eux, et ils furent jugés chacun selon leurs oeuvres ... Et si quelqu'un n'était pas trouvé écrit dans le livre de vie, il était jeté dans l'étang de feu ... C'est ici la seconde mort, l'étang de feu" (Apocalypse 20. 13,15).

A l'extérieur de cette prison, il n'y aura pas de complice et à l'intérieur pas de poignée ni de clef. Mais aujourd'hui la prison est encore vide, le royaume des cieux est encore ouvert. Et vous y êtes invité. Pourquoi ne pas entrer?